J'y suis, j'y reste!
Le bilan de Nathalie Fontanet (PLR) Jérémy Seydoux et un invité mystère confrontent les conseillers d’État candidats à leur succession.
Le bilan de Nathalie Fontanet (PLR) Jérémy Seydoux et un invité mystère confrontent les conseillers d’État candidats à leur succession.
Dans le système actuel, seul un des parents bénéficie d’une réduction de son taux d’imposition. Il s’agit souvent de celui qui gagne le moins.
Le Conseil d’État dépose un projet de loi présenté par Nathalie Fontanet visant à traiter de manière semblable certains conjoints séparés.
Un projet de loi propose d’octroyer la même réduction tarifaire aux deux parents, lorsqu’ils assument à parts égales leurs enfants.
Rétablir une égalité fiscale, voire une injustice pour beaucoup de parents séparés ou divorcés. Jusqu’ici, celui des deux qui gagnait le moins bénéficiait d’un traitement favorable, avec un taux d’imposition réduit, tandis que l’autre ex-conjoint était considéré comme une personne seule et donc plus taxée sans prendre en compte les charges liées aux enfants.
Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat chargée des Finances. a soumis mercredi au Grand Conseil un projet de remaniement de la Loi sur l’imposition des personnes physiques.
Le Conseil d'Etat genevois veut mettre fin à une inégalité fiscale qui touche les parents séparés ou divorcés qui assument à parts égales la prise en charge et l'entretien de leurs enfants. Il a transmis ce mercredi au Grand Conseil son projet de modification de la loi sur l'imposition des personnes physiques.
Anne Hiltpold et Nathalie Fontanet, prétendantes au Conseil d’État, ont développé leurs propositions en vue des élections d’avril.
Les candidates au Conseil d’Etat Nathalie Fontanet et Anne Hiltpold ont présenté leur programme électoral ce vendredi. A l’honneur: baisse de la fiscalité, accès à la propriété et école dès 3 ans
Pertes de la BNS: conséquences pour Genève Présenté par Pascal Décaillet. Avec Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat, finances + RH
Le 18 juin, la population suisse se prononcera sur un arrêté fédéral permettant d’appliquer dès 2024 la réforme fiscale de l’OCDE prévoyant une hausse de l’imposition des multinationales. Dès lors que de telles firmes réalisent un chiffre d’affaires de 750 millions d’euros, elles seraient taxées à hauteur de 15% de leurs bénéfices.
Dès le 1er janvier, le télétravail sera possible jusqu’à 40% du temps de travail par année sans remettre en cause ni le statut de frontalier, ni les règles d’imposition.