Nathalie Fontanet veut changer les lois pour favoriser l’égalité aux postes clés
Les femmes restent ultraminoritaires dans les organes décisionnels. La magistrate PLR prend des mesures pour y remédier
Les femmes restent ultraminoritaires dans les organes décisionnels. La magistrate PLR prend des mesures pour y remédier
Entrée au Conseil d'Etat genevois en juin 2018, Nathalie Fontanet a repris les rênes du département des finances et des ressources humaines. Elle se livre sur ses premiers pas au gouvernement et sur les grands dossiers de ce début de législature, parmi lesquels figure la fiscalité immobilière.
Au milieu d'un monde figé, Nathalie Fontanet est parvenue à faire mouvement. En débloquant, avec le parlement, le dossier de l'imposition des entreprises, la ministre des Finances rend aux Genevois le goût de la politique.
Nathalie Fontanet et Thierry Apothéloz parlent du gigantesque menu des votations de mai et défendent l’accord trouvé
Avec l’assainissement du budget comme priorité en 2020, Nathalie Fontanet souhaite laisser des finances équilibrées aux générations futures. Rencontre avec une conseillère d’Etat engagée sur tous les fronts de son département.
Vendredi, le parlement genevois s’est laissé dicter la partition par l’extrême gauche en votant un budget 2019 très généreux. Il a aussi accepté deux projets de loi contradictoires sur la Caisse de prévoyance de l’Etat. Réaction de Nathalie Fontanet, ministre PLR aux Finances
Le Conseil d’État joue son joker en proposant son nouveau plan pour sauver la Caisse de pension des fonctionnaires
Le Conseil d’Etat genevois présente sa solution pour la caisse de pension des fonctionnaires. Un compromis solide, selon le gouvernement
La patronne genevoise des Finances et des Ressources humaines croit aux mesures ciblées pour que les femmes ne soient plus ultraminoritaires dans les sphères dirigeantes.
Nathalie Fontanet déplore la réaction suscitée par des adaptations de la fiscalité, car elle planche sur une réforme globale
Le taux d’imposition serait fixé à 13,79%. Par rapport au régime actuel, c’est une forte baisse pour les entreprises ordinaires, une forte hausse pour les multinationales