Des accords exceptionnels et provisoires, conclus durant la pandémie de Covid-19 par les autorités suisses et françaises, ont permis le développement du télétravail des frontaliers sans conséquence en matière fiscale ou d'assurances sociales. Ce régime dérogatoire temporaire a maintes fois été prolongé alors que la pratique du télétravail est rentrée dans les mœurs. Les incertitudes découlant de la situation actuelle poussent aujourd’hui l'ensemble des parties prenantes à demander qu’une solution sur le long terme soit mise en place. L’objectif, qui va dans l’intérêt du personnel et des entreprises de la région, est d’éviter que le télétravail frontalier ne soit remis en question.
Et si on prenait plutôt l’initiative de dire merci?
Souvenons-nous également que seuls 3% des contribuables assument plus de 80% de l’impôt sur la fortune dans notre canton.